Aélys Maxwell

PAPIER DU PENSIONNAIRE

(c) Aurélie

I AM: Maxwell Aélys feat Leighton Meester

CARACTÈRE [8 lignes complètes minimum]

Hearing Damage

Je suis quelqu’un de très secret mais j’ai vite compris que moins on laisse transparaître de chose, plus les gens veulent en apprendre sur vous. Alors je me suis créé une sorte de masque fait d’un sourire et d’une bonne humeur apparente. Je souris, je saute dans tous les sens mais en réalité, tout est faux. Chaque geste, chaque sourire… chaque larme. Chaque acte de pseudo générosité est préméditée avec soin et à toujours un but. Je veux toujours récolter quelque chose en échange… parce qu’en réalité je suis quelqu’un de tout à fait égoïste et de pas du tout spontanée. Je hais l’alcool et pourtant je n’hésite pas à m’y noyer. J’ai peur du sexe et pourtant dans combien de lits étrangers me suis-je réveillé ? Seule ma violence est réelle. Alors oui, je parais simple. Et peut-être même… heureuse. Mais une carapace cache tout. Malheur. Idéaux brisés. Et mal d’amour réel…

PHYSIQUE [8 lignes complètes minimum]

candies-world

Je vais vous décrire comme on me voit tous les jours. Fausse. Mais après tout je suis « ça » non ? Totalement fausse et vide. Un visage rond et presque angélique. Des yeux marron qui ne pétillent jamais même quand ma bouche sombre semble vous accueillir à bras ouverts. Des cheveux bruns plutôt longs qui hésitent entre friser et rester raide. Je suis plutôt grande. Mais pas trop. Juste comme il faut serais-je tentée de dire. Je ne suis pas maigre. Pas maigre du tout. Je suis même plutôt bien en forme. Avec des seins, des fesses… de quoi plaire aux hommes non ? Je veux plaire aux hommes. Je veux croire qu’ils peuvent m’aimer… je porte généralement des habits plutôt classiques et sages. Mais toujours à la mode. J’aime ça. Et c’est sans doute la seule chose de vraie chez moi… Mais je peux devenir une tigresse et en porter les habits aussi…

HISTOIRE [20 lignes complète minimum]

wildpoppy.

Je suis née un petit matin pluvieux de novembre. Dans des cas comme le mien, en général, l’enfant n’est pas désiré. Mais moi, ma mère était heureuse de me voir. Nous n’étions pas riches. Même plutôt très pauvre. Alors le soir ma mère vendait son corps. C’est comme ça que j’ai été disons… conçue… elle m’a toujours dit ne pas savoir qui était mon père. Mais malgré ça, nous étions plutôt heureuses. Elle me disait qu’un jour, elle trouverait une autre solution. En attendant, nous étions dans un minuscule appartement, vivant au jour le jour. Elle était mon amie, ma confidente. Et ensemble installées dans notre canapé miteux, nous rêvions d’un prince charmant. Un homme riche, beau, généreux qui aurait aimé ma mère, l’aurait épousé et nous aurait emmené dans un appartement immense à Londres, au bord de la tamise…

Elle l’a trouvé, son beau mari. Mais elle ne savait pas qui il était. Elle croyait le savoir. Il était grand, blond, et ses yeux bleus lui donnaient un visage angélique. Pendant quelques temps, ce fut le bonheur. Mais le lendemain même de leur mariage, tout changea. Combien de coups s’abattirent sur le dos de ma mère ? Trop, bien trop. J’avais 13 ans, et j’étais faible. Alors je ne bougeais même pas. Dans ma petite chambre, je me contentais de me boucher les oreilles. Pour croire que j’allais pouvoir oublier une fois la tempête passée. Mais la tempête ne passa pas. Max n’était qu’un petit mafieux bien loin du prince de nos rêves. Et il passait ses journées à la maison. À frapper ma mère. J’avais peur, chaque soir, de rentrer à la maison. De le voir. Alors je trainais dans les rues.

Puis un soir, lorsque j’entrai dans l’appartement, je sentis un vide horrible s’installa dans mon esprit. Un trou au creux de mon estomac. Et c’est là que je la vis. Ma mère. Allongée sur le sol de la cuisine. Sans connaissance. Sans vie… les larmes coulèrent sur mes jours. J’avais 15 ans. Et je commençais à comprendre que mon avenir allait être un enfer. Avant, il y avait toujours ces petits moments, dans la nuit, où elle venait se glisser dans mon lit. Comme quand j’étais enfant. Et où je faisais semblant de dormir. Et où je faisais semblant de ne pas sentir ses larmes sur mes cheveux. Mais où, en réalité, j’étais presque heureuse…

Et ce soir là, il but. Trop. Et il me dit que je devais remplacer ma mère à présent. Que je devais prendre sa place. Pour tout… alors c’est dans un lit empestant l’alcool qu’il me viola. Pour la première fois mais surement pas la dernière… je fuyais le plus souvent possible, chez des amis et même dehors. Mais sans ne jamais rien dire à personne. C’est le moment où je commençai à jouer la comédie. A sourire au monde et à crier en secret. Ça dura 4 ans et demi. Pour supporter je buvais. J’ai commencé à 15. Ma première cuite. Mon premier trou noir… il y eu aussi la drogue. Et tout ce qu’on peut imaginer. Je me sentais sale. Impure. Et c’était la vérité…

Puis une nuit, je quelque chose changea. J’avais bu. Trop. Et fumé. Mais pas que du tabac. Il y a un trou dans ma mémoire. Je me souviens de cris. De coup. De douleur. Et d’un geste fou. Un couteau…

Je me suis réveillé dans un lit. Un lit blanc. Des murs blancs. Un plafond blanc. J’eu envie de crier mais tout se mit à tourner autour de moi. Les infirmières arrivèrent en courant. Plus tard, bien plus tard, quelqu’un jugea bon de m’expliquer. Une voisine avait entendu du bruit. Enfin, plus de bruit que d’habitude. Et un cri horrible. Alors elle avait appelé la police. Et il m’avait retrouvé, bien trop alcoolisée, et bien trop inconsciente. Puis, dans la cuisine, il avait vu le corps inanimé de Max. un couteau dans le dos…

Il était vivant, et je l’ai regretté. Oui, si fort. J’aurais voulu qu’il meurt. Qu’il crève. Qu’il paye pour tout. Pour moi. Pour ma mère. Pour nos vies brisées… mais il était vivant. Ils ont dit que c’était une chance pour moi. Et moi j’ai souri. Comme d’habitude. Comme toujours. J’ai dit que je regrettais. Que j’étais heureuse pour lui. Et ils ont eu… pitié. Alors que je ne méritais même pas leur pitié. Je ne méritais rien… ils ont dit qu’ils allaient me soigner. M’envoyer dans un endroit où j’apprendrais à me reconstruire.

Et me voilà ici. Je vous hais. Tous. Psychologues. Educateurs. Vous voulez tout savoir de moi. Mais je n’ai rien à vous dire… je suis une bête sauvage. En cage. Mais je vous promets que vous ne gagnerez pas. Pas cette bataille là…

DERRIÈRE L'ÉCRAN

Sae	Prénom ou Pseudo: mais si je le dit, Il va me reconnaitre! je suis en planque... xD Age: bien assez, ça vous va ? Ou avez connu le forum: mais si je le dit aussi il va me reconnaitre! Code:OK BY ZACH. c'est ça ? Oui Mam'zelle =)

Welcome ^^

Bienvenue à Mayfair ! Et bonne chance pour le reste de ta fiche. (:

merci beaucoup!

Invité

Bienvenue

Salut salut =)

Je vais essayer d'éviter de baver sur la bannière de ma voisine pour te parler sérieusement de ta fiche lol

Déjà bienvenue et merci d'avoir choisi ce forum ! =)

Et bien pour tout te dire elle est très bien cette fiche, en dépit des quelques fautes d'orthographe, mais il me manque quelque chose. J'ai l'impression qu'elle est pas finie ^^' Qu'est ce qu'elle a fait la petite et pourquoi elle se retrouve à Mayfair ? Ca me manque tout ça pour te valider Wink

Et hum sinon... C'est qui qui pourrait te reconnaitre? x) Je crois savoir qui mais je suis pas sûr...

oui oui, elle est pas finie! Wink

mais hier j'ai du aller ma coucher, j'étais totalement morte...
mais je la finie aujourd'hui et je corrige mes fautes, j'ai mis histoire de posté, ça sauvegarde comme ça! xD je suis la douée pour perdre ce que j'écris... lool

EDIT : je crois que là, ben j'ai fini!! j'ai corriger quelques fautes, l'orthographe, c'est pas exactement mon fort...

Ok ok ^^

Et bien tout est ok maintenant ^^

Encore bienvenue sur le forum ciel Rolling Eyes

Tu es validée Wink

Bon rp

leighton <3

Bienvenue à toi Very Happy

merci pour tout!
oui, Leighton! <3

» Aélys graph aussi