Jake N. Wexler

Pourquoi je me décrirai ? Je ne sais même pas quoi vous dire sur moi…
Je suis un jeune homme qui aime profiter de la vie, chaque seconde compte pour moi et je ne supporte pas perdre mon temps pour n’importe quoi. Il faut que je sorte, que je m’éclate, que je drague je ne peux pas rester enfermer chez moi à ne rien faire. Je sais, j’ai 24 ans, mais j’ai encore la vie devant moi alors pourquoi ne pas profiter pendant qu’on peut ? Ce n’est pas à 60 ans que j’irais draguer les minettes de 20 ans. Oui je suis un grand charmeur, gentleman, romantique, bref je sais parler aux femmes quoi, et elles me le rendent bien. Ne pas confondre charmeur et macho bien sur, car je respecte toujours les femmes et ce n’est pas mon genre de changer de copine comme de chemise. J’avoue me faire plaisir les soirs, mais lorsque je m’engage avec une fille, je suis sur de mon coup et c’est pour rester le plus longtemps possible avec elle. Pour vous dire, je reçois beaucoup de demandes et elles sont pour la plupart rejetées, il ne suffit pas d’être sexy pour me plaire, non je regarde l’intérieur d’une femme aussi. On peut très bien être différent ou similaire, le principal c’est que je m’entende bien avec elle, et qu’elle me supporte. Oui car je ne suis pas l’homme parfait non plus, j’ai également quelques défauts.

Je suis quelqu’un d’assez jaloux, c’est vrai que je n’aime pas qu’on s’approche trop des gens que j’aime. Je ne veux pas les partager en gros, puis un peu parano sur les bords, j’ai peur qu’on me les pique. En tout cas, lorsque j’ai 3 sublimes femmes rien que pour moi, même dans ces situations je ne suis pas partageur, on a de la chance ou on en a pas, je garde ce que j’ai amassé. Mais mon degrés de jalousie n’est tout de même pas élevé à son maximum, j’arrive à me contrôler et la baston, très peu pour moi. Je peux paraitre pour un « Gandhi », mais je suis pour la non violence, avec moi tout se règle avec les mots, je ne lève jamais la main sur personne.
Après je ne suis pas vraiment doué pour me trouver des défauts, peut être qu’après tout ma jalousie et ma possessivité sont les seuls que j’ai. Pas menteur, pas vraiment arrogant, pas manipulateur…Non rien de tout ça. Faut croire que je ne suis pas loin de la perfection après tout ! (pas vraiment arrogant j’ai dit).

Pour en revenir à mes qualités, il ne faut pas croire que je ne suis gentil qu’avec les femmes. Non, mes amis, ma famille pourront très bien témoigner de ma gentillesse également. En fait je suis comme ça avec les gens que j’aime, ce qui est un peu normal. Quant à mes ennemis, pour le peu que j’en ai, je préfère les ignorer. Comme je l’ai dit, je ne cherche pas le conflit et j’essaye au contraire de calmer le jeu. Je ferais un bon éducateur non ?

Vous voulez que je vous parle de mon physique aussi ? Ca devrait être plus facile là…
Pourquoi ne pas commencer par un adjectif qui revient souvent quand on parle de moi ? Je suis beau. Ouais enfin ce n’est pas moi qui le dis hein ! C’est vrai que je fais attention à moi, je soigne mon look, mais c’est plutôt pour être présentable et pas pour me la jouer beau gosse. Mes cheveux sont marrons foncés et ils sont pour le plus souvent court, même si parfois il m’arrive de les laisser pousser par faute de temps. Je ne peux pas allez me les faire couper tous les jours non plus ! Je leur donne une légère forme mais sans mettre de gel pour tant, c’est surtout pour ne pas qu’on me croit surtout du lit. Quant à mes yeux, ils sont colorés d’un très beau bleu. En fait, je serais tout à fait mon genre si j’étais une fille…Parce que c’est vrai, j’adore les filles brunes aux yeux bleus ou verts. Bref, on s’en fou un peu de mon style de fille non ? Pour rester au niveau de mon visage, on peut dire que je n’ai aucune imperfection et que je me laisse pour la barbe, enfin je la rase de façon à la faire tout de même assez légère. Voilà pour ma petite gueule d’ange qui en fait craquer plus d’une au premier regard !

Quant au reste de mon corps, et bien il plait tout autant. Je prends soin de moi aussi en pratiquant du sport, du coup je me suis forgé de beaux abdos et pectoraux. Je n’aime pas les bodybuildé ou au contraire les crevettes, alors je me trouve tout à fait dans les normes, musclé comme il faut et je ne compte pas faire moins. Pourquoi pas un peu plus mais sans exagéré non plus hein ! Bon mes poils on s’en fou non ? Que dire à par que j’en ai un peu au nombril et sur le torse, car je les rase la plupart du temps. Comme pour les muscles, je n’aime pas être imberbe, mais je n’aime pas être trop poilu non plus, du coup je laisse ce qu’il faut pour que ça me plaise, et que ça plaise aux autres surtout.
Bon, pour suivre l’ordre de ma description je devrais donc descendre en un peu, sous le ventre, mais ça et bien ça reste privé ! Alors on va passer ce passage, et que puis-je vous dire d’autre que : venez voir par vous-même ?

On va passer au style vestimentaire alors. Et bien je suis plutôt décontracté et classe à la fois. Je mets souvent des chemises ou des tee-shirts, quand au pantalon c’est surtout des jeans que j’enfile. Je peux mettre des baskets ou bien des chaussures ça dépend aussi. En fait, je sais m’adapter à tout et je change selon mes envies. Mais vous ne me verrez jamais par exemple en slim ou en baggy ou bien en pull-over. Très peu pour moi, même en hiver je me satisfais d’une chemise et d’une veste par-dessus. Je n’aime pas me sentir trop serré dans mes vêtements ou au contraire trop libre. Donc je mets des vêtements à ma taille et puis voilà !
Quant aux sous-vêtements je mets que des boxer, j’en ai tellement de différents maintenant, j’en achète souvent. Je ne suis pas vraiment compliqué finalement, je m’habille décontracté sans paraitre trop clochard et classe sans paraitre trop bourge. Voilà mon petit style ^^

Flash-back

Dès mon enfance, mon père, ce grand psychologue, le docteur Wexler, m’a toujours soutenu dans mes actes et a toujours été là pour m’encourager. Il est tout ce que j’ai, il m’est tellement cher et sans lui je ne serais pas ce que je suis devenu maintenant. Je n’ai jamais connu ma mère car elle m’a abandonné à mon père. En effet, malgré leurs différents moyens de contraception, ma mère est tombé enceinte, ce qu’elle redoutée par-dessus tout, à croire qu’elle a une hantise des gosses. En tout cas, elle n’a pas supporté et à tout de suite voulu avorter. Mon père me racontait qu’elle était devenu hystérique, elle n’en dormait plus la nuit, la présence d’un être humain en elle l’a rendait paranoïaque. Ils étaient jeunes, elle avait 18 ans et lui en avait 20 ans, pourtant mon père voulait vraiment de cet enfant, il ne voulait pas lui ôter la vie avec cet avortement. Alors il a réussi à la convaincre, les jours suivant se passaient plutôt dans le calme, mon père continuait ses études de médecine et ma mère devait rester dans leur appartement. Seule dans l’appartement, a 3 mois de ma naissance, elle n’en pouvait plus, elle me sentait grandir en elle et elle avait finalement renoncé à m’avoir. C’était plus fort qu’elle, elle ne me voulait pas. Mon père a été contacté à l’université, ma mère avait été retrouvée en sang en bas des escaliers de leur immeuble. Bien sur, il pensait tout de suite à un accident, jamais il n’aurait pu imaginer qu’elle s’était jetée d’elle-même pour perdre son enfant. A son réveil, les infirmières étaient heureuses de leur annoncer que j’étais malgré tout en bonne santé et qu’ils avaient eu de la chance. C’est une fois qu’ils étaient tous les deux, dans l’appartement, qu’elle lui annonça qu’elle était tombée volontairement. Mon père m’a racontait dans quel état elle était, il ne l’avait jamais vu comme ça, prête à se tuer pour ne pas avoir cet enfant. Il n’a jamais compris pourquoi elle n’en voulait pas d’ailleurs, mais lui qui ne la pensait pas capable d’une chose aussi horrible, vouloir tuer un gosse à 3 mois de sa naissance, il apprit depuis ce jour que rien n’est impossible. Même les personnes qu’on aime peuvent nous surprendre à tout moment. Depuis ce jour, mon père a voulu devenir psychologue pour aider les personnes dans le besoin, comme ma mère l’avait été. Il n’avait rien pu faire pour la raisonner. Le jour de ma naissance, elle se suicida dans les toilettes de l’hôpital, me laissant au bras de mon père. Qu’est ce qui se passait dans sa tête ? Ma mère était folle oui, pourtant il devait bien y avoir une raison à ça. On ne devient pas comme ça par hasard…Mon père en cherche toujours la cause.

Present day :

Je ne vais pas m’attarder sur mon enfance qui fut tout à fait banal. Mon père me choyait plus que tout, j’avais ce que je voulais, c’était super. Sauf qu’il ne m’avait jamais raconté cette histoire sur ma mère. Je l’ai sur il y a seulement 5 ans, à mes 19 ans. Il m’avait toujours dit qu’elle avait eu un accident de la route car j’aurais été trop jeune pour comprendre dans quel état était ma mère. En fait, j’avais appris complètement au hasard la vérité sur ma mère. C’était une femme assez âgée qui était venu voir mon père pour un rendez vous. Parfois les patients venaient à la maison quand ils avaient vraiment besoin de parler et qu’ils ne pouvaient pas attendre un rendez-vous. En tout cas, il s’agissait d’une ancienne infirmière qui s’était soudainement rappelé de mon père, car elle était un peu atteinte d’une légère amnésie pour couronner le tout. Je descendais les escaliers pour allez chercher quelque chose à boire dans la cuisine quand j’entendis la femme parler de ma mère, qui se rappelait de cette famille Wexler, cette femme qui s’était suicidé dans les toilettes. Je ne savais pas encore si elle parlait de ma mère, en tout cas je préférais attendre qu’elle parte pour en parler à mon père. Cette fois si, il avait décidé de me dire la vérité et on a discuté ensemble de longues heures. J’ai encaissé le décès de ma mère depuis bien longtemps, du coup ce n’est pas ça qui va changer ma vie, j’avais juste était surpris de ce qu’elle avait fait. Ce genre de personne m’intriguait moi aussi et je trouvais mon père courageux de vouloir les aider. Je ne sais pas si je supporterais d’être en face d’une personne qui n’a plus toute sa tête, je serais surement mal à l’aise. Enfin sa tombe bien, ce n’est pas du tout ce que je veux faire plus tard.

L’année de mes 22 ans, lors de vacances au soleil à Barcelone en Espagne, j’ai rencontré une séduisante jeune fille. Peau légèrement pale, cheveux longs et noir et des yeux d’un bleu à vous perdre dedans. J’ai tout de suite craqué pour elle, en plus de ça c’était une anglaise également qui était en séjour linguistique. Elle voulait travailler dans le tourisme et pour ça elle avait besoin de voyager pour travailler ses langues. En tout cas, j’avais prolongé mon voyage et on était rentré en Angleterre ensemble, après avoir passé des moments de folies ensemble. A notre arrivée on pouvait vraiment dire qu’on était en couple désormais. Elle avait 20 ans, elle vivait encore avec ses parents et ils ont acceptés qu’elle vienne vivre avec moi dans mon appartement. Qu’est ce qu’on était heureux ensemble ! On étudiait ensemble, on passait nos journée ensemble et on s’éclatait au lit tous les soirs ! Un petit couple parfait quoi, j’étais heureux. Je me case rarement avec une fille, mais là j’étais confiant.

Il y a 3 mois, lors de mon 24ème anniversaire, Cassie s’était faite plus rayonnante que jamais. Elle était très désirable, belle et sexy à la fois, bref surement parfaite à mes yeux. On avait organisé une petite journée entre amis autour d’un lac histoire de pic niquer au soleil et de parler pendant des heures. Je ne vous cache pas que j’étais également pressé de rentrer car elle me fait toujours ce que je veux les soirs de mes anniversaires… J’étais heureux ce jour là et elle aussi. Cependant, alors qu’on s’amuser bien entre nous, elle se mit tout à coup à pleurer et elle est partit plus loin pour être seule. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait, elle avait changé d’humeur d’un coup, je n’avais rien vu venir. Chacun leur tour, nos amis ont essayé de lui parler mais elle ne voulait pas parler, juste être seule. A son retour, elle sortit une bague de son mini short puis elle me la présenta en me criant dessus. Je reconnaissais cette bague, en effet, je l’avais acheté pour une de mes meilleures amie qui avait flashait dessus lors d’un après midi entre nous. Elle n’était pas excessivement chère et je lui avais acheté pour son anniversaire qui était dans 2 semaines environ. En tout cas, Cassie me demanda pourquoi je ne la demandais pas en mariage, elle m’annonça qu’elle avait trouvé la bague il y a déjà 1 semaine et qu’elle attend toujours que je lui demande de m’épouser, et elle pensait que j’allais le faire cet après midi. Je ne voulais pas faire de crise de ménage devant tout le monde, nos amis mais aussi les passants. Je voulais lui expliquer à la maison mais elle haussait de plus en plus le ton. Comme quoi elle avait déjà tout prévu, tout en blanc, avec des colombes et des musiciens. Alors qu’elle était partit dans un délire, je décidai alors de lui avouer que cette bague n’était pas pour elle, et que je n’étais pas encore prêt à me marier. Un long silence s’installa et elle partit en pleurant. Voilà comment se termina ma magnifique journée d’anniversaire ! Et encore, la soirée approchait seulement…

Quant à mon tour je rentrai à l’appartement, j’ai trouvé Cassie sur notre lit, en robe de mariée et entrain de pleurer. Elle s’était déjà acheté cette robe en plus, elle pensait vraiment qu’on allait se marier. Je ne voulais pas la brusquer, juste lui expliquer que je préférais attendre encore un peu. J’avais l’impression d’avoir brisé son rêve. Je m’étais mis assis sur le lit avec elle et je lui ai expliqué que je n’étais pas encore prêt, on était peut être ensemble depuis 2 ans, mais je voulais être vraiment sur que j’étais tombé sur la femme de ma vie. Car des longues et belles relations j’en ai eu, et elles se sont tragiquement finies, je lui parlais donc en connaissance de cause. Elle se redressa alors, sécha ses larmes puis elle sortit un livre du placard. Elle se remit assise à mes cotés pour me le montrer, il s’agissait de différentes pièces montées. Avec le sourire, elle me montra celle qu’elle avait choisie pour notre mariage, et qu’elle en avait même déjà avertie le traiteur. J’avais l’impression de lui avoir parlé dans le vide, elle continuait de me parler de ce mariage, qui n’allait pourtant bien ne pas avoir lieu !
J’avais décidé de laisser passer la nuit, histoire qu’elle oublie un peu tout ça et qu’on passe un bon moment ensemble. Mais alors que j’étais en simple boxer sur notre lit, l’attendant impatiemment, elle sortit de la salle de bain en petite nuisette très sexy, déclarant qu’elle sera habillée comme ça pour notre nuit de noce. C’était dur pour moi de résister à son corps, mais je me suis levé, je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai de répété plus sèchement qu’il n’y aura pas de mariage. Elle restait devant moi, avec son sourire béa, protestant qu’elle allait me faire changer d’avis avec du sexe. Je ne la reconnaissais pas, elle n’avait que ce mariage en tête et rien de ce que je lui disais ne l’affectait. J’ai donc pris sur moi et je suis partit prendre une chambre à l’hôtel le plus proche, je ne pouvais pas coucher avec elle dans l’état où elle était.

Le lendemain, je suis passé à l’appartement, elle était là, assise sur un fauteuil avec le sourire. Elle téléphonait avec quelqu’un alors je me suis installé avec elle et je luis fis un signe de la main pour lui dire bonjour. J’étais content car elle me souriait toujours, la nuit l’avait surement fait réfléchir et elle ne m’en voulait pas d’avoir découché. Cependant, je l’entendais parler avec son interlocuteur de roses blanches, et d’une nouvelle robe car elle avait taché l’autre hier soir. La colère montée en moi, j’attendais qu’elle raccroche pour avoir des explications. Ce qu’elle ne fit pas longtemps après, me lançant un « Comment vas-tu mon amour ? » toujours aves son grand sourire. Je lui demandai avec qui elle était au téléphone, et sans gène, elle me déclara qu’il s’agissait de l’organisatrice du mariage qui n’avait soit disant rien compris avec les roses. Sans rien dire, je suis partit de l’appartement et j’ai étais voir mon père.
Là bas, je lui ai parlé du cas de Cassie et que j’aimerais bien qu’il parle avec elle. En effet, elle était complètement entrain de s’imaginer une vie, je ne voulais pas du tout de ce mariage mais elle s’en foutait carrément. Je lui ai donc ramené Cassie dans l’après midi, protestant qu’on allait voir mon père pour parler du mariage sinon elle ne serait jamais venue.
Chaque semaine, mon père donnait rendez-vous à Cassie pour parler avec elle, et chaque soir je lui demandai de ses nouvelles. Ces dernières n’étaient jamais fameuses, elle s’imaginait toujours qu’on allait se marier. Elle devenait folle de rage quand mon père osait lui dire que non. Et un soir où je suis venu prendre de ses nouvelles, mon père m’annonça qu’il ne pouvait rien pour elle et qu’il allait devoir la confier à un hôpital psychiatrique. Il pense que si elle passe la journée du soit disant mariage là bas, elle en ressortira différente car le grand jour sera passé.

J’ai donc passé les mois suivants seul, cherchant un travail car j’avais terminé mes études d’économie. Un jour, j’ai lu dans le journal une annonce qui m’intéressait au plus au point. Un centre pour jeune ayant commis des erreurs assez graves et qui ont besoin d’aide pour obtenir une seconde chance. Mon père avait eu un déclic en voyant ma mère, j’ai eu le mien en voyant Cassie. Je voulais aider ces jeunes à s’en sortir, je ne voulais pas qu’ils sombrent dans une dépression où qu’ils deviennent fou suite à ce qu’ils ont fait. J’avais été choqué par ce que j’avais vu avec Cassie, je voulais moi aussi que les choses changent. Je ne sais pas pour combien de temps j’en aurais pour ce centre, mais à mon retour, Cassie sera surement libérée et si elle ne va pas mieux je pourrais à mon tour essayer de l’aider. Je pense être le plus concerné par son problème, je serais donc la dernière chance à son problème. En tout cas, je viens d’être accepté comme éducateur dans ce château à Londres. Je pars donc aider ces jeunes, tout de façon je sais déjà un peu à quoi m’attendre, à moins que le cas Cassie ne soit rien comparé à ce que je vais voir…